Jumeaux pas jojo. Oubli.

La descendance autoproclamée du grand Piège de die hard de cristal. Bon moment car Jaume Collet-Serra sait tenir sa caméra.

L'anthologique sympathique.

Jesus Marie Joseph...

Le feel-good que je feel-good pas parce que surjeu des pensionnaires de la comédie fraaaançaise. Du moyen moyen.

Dernier(?) du Don Lee Ma Dong-Seok (à vos souhaits!) qui casse des bouches à base de grosses tartes coréennes et qui fait un bien coréen fou. Du quadrilogique bon!

Troisième du Don Lee Ma Dong-Seok (à vos souhaits!) qui casse des bouches à base de grosses tartes coréennes et qui fait un bien coréen fou. Du bon!

Suite du Don Lee Ma Dong-Seok (à vos souhaits!) qui casse des bouches à base de grosses tartes coréennes et qui fait un bien coréen fou. Du bon!

Don Lee Ma Dong-Seok (à vos souhaits!) casse des bouches à base de grosses tartes coréennes et ça fait un bien coréen fou. Du bon!

Le cercle du panache disparu. On oublie vite.

Les Infiltrés coréens avec classe. Lee Jung-jae avant Squid Game et Choi Min-sik après Oldboy (oui genre je connais les noms genre). Du bon!

On aurait pas dû projeter ce film. Néance.

Alleeeer on oublie les films coincé sur l'A6 et j'inaugure les films vu d'un yeux dans le cockpit. Du couuuup celui-ci est évidemment gnangnan malgré le capital sympathie pour le grand François Damiens. Oubliens.

Verhoeven et Cronenberg ont fait une Coralie Fargeat. Oui bon d'accord.

Exacte et efficace incursion dans le joli monde des avocats made in France. Première bon.

Batman et André 3000 dans l'espace intersidéral. Du bon sur le papier mais moins bon en vré.

Intéressé simplement par la note IMDb et le titre de ce film fou taïwanais. Les maladresses de l'acting rattrapées par des plans de folie à en jubiler. Du bon chamboulé mitigé.

Romain Duris qui nonante méchammente. Thrilleur belge efficace à voir une fois (clin d'oeil blague bisou).

Le dernier Steve McQueen qui sort sur les plateformes poubelles dans une totale indifférence. La sale guerre à travers les yeux du tout petit et très juste Elliott Heffernan. Hans Zimmer à l'OST le pied. Du bon.

Longueurs hypnotiques. Pensée pour Glenn.

L'élégance d'une Zoe Saldana qui se laisse aller sous la direction d'un Jacques Audiard inspiré. Les chansons et chorés claquent et déclaquent au point où je ne savais plus trop sur quel pied danser, mais saluons l'originalité. Du bon.

Pas assez de mots pour décrire cette merveille. La barre est placée tellement haute à tous les niveaux, de surcroît mise en exergue par un triumvirat frenchy trop fortiche. Le monde vous appartient et c'est largement justifié. Merci.

Un autre à classer dans la série des films que je pensais ne jamais avoir vu mais que j'ai bien vu quand je l'ai vu et que j'eu oubliu. Sigourney nous fait son Silence of the Agneaux avec un bel OST d'époque. Aller bon.

Et oui j'ai succombé à l'appel de canalplus un après-midi sous la couette. Succès mérité. Oublié.

Bon alors oui c'était bien le Penguin, mmmmais on a vu mieux. Certes avoir un spin-off au dernier sympathique Batman en mini série est plutôt sympathique mmmmais en réalité on pouvait sympathiquement s'en passer. Du allons bon pour Colin Farrell qui suinte sous les prothèses et la mini Cristin Milioti qui s'en sort à merveille. Le reste aura alourdi mes paupières.

Prad Bitt dans l'anecdotique. Oublique.

À chaud bouillant... Sir Ridley Scott du nom, grand et puissant feu réalisateur d'antan, très certainement abusé du haut de ses 86 ans, s'auto-parodiant, porté par du studio qui n'en veut pour son argent. On frôle l'insulte au chef d'œuvre de 2000 déployée par une tonne de maladresses rythmiques nique ton jeu d'acteurique et la musique. J'en rajoute quelques petites couches qui n'engagent que le moi : Paul Mescal est mauvais. Connie Nielsen est mauvais. Denzel cabotine. Pedro Pascal y croit. Les empereurs jumeaux y croient aussi. Big up à Derek Jacobi qui revient et sert à rien (et les rhino- requins... Butez-moi!). Je pleure mon grand et puissant cinéma mais pour celui-là en vrai je le savais donc je m'en remettrai. For [W]ome!

Refroidi par mon enfant qui me disait que c'était niais. Mais mais, le faux avènement des Sons of Anarchy du passé s'est laissé regardai. Allai.

J'ai mal à mon Marcelo qui interprète avec justesse la bonne patte chétive embourbée dans une grise et sombre Italie. Allons.

Bagarre vietnamienne plutôt réussie, jeu d'acteurs vite on oubli.

American Psycho la revanche. Coup de pression scotchant ça faisait longtemps. Étonnant.

Plaisir coupable de la sequel qui fait le job. La vieillesse.

Les comédies américaines d'il y a 40 ans, avec les bankables d'il y a tout autant 40 ans. Truc jamais vu qui a fait passer le temps bouchant. Vote blanc x baseball ?!!

Meugnonnance du pitit chat trop meugnon. Post cataclysmic survival très booooon story.

Le kiff vu moulte fois dans ma jeune jeunesse que je surkiff encore aujourd'hui, qui plus est avec mon fiston. Du très bon avant la vision de sa suite tardive.

Énième suite anecdotique qui endort à la manière du dernier Jurassic où l'on fait revenir les anciens pour rien et surtout qui te renvoie direct vers les vrais numéros uns qui étaient si biens. Abandon.

A la manière d'un Endgame pas si vieux, voici donc le glorieux finish de la quête trilogique des petits mecs pieds poilus et boucle chevelus. C'est fou ce qu'on a pu prendre dans les mirettes en 2003 au Pathé Gaumont où déjà ça piquait quand tu payais ta place 8€. Du héroïco-épico-mega-bon!

La bataille de l'entre deux tours. Avec mon fiston qui s'impatiente terriblement constatant que nos amis les hobbits sont vraisemblablement agaçants. Du puissant!

Prends le ton coup d'vieux. Déjà 20 ans et quelques patates dans les dents. Revu en version pas longue parce qu'on n'a plus le temps. Du toujours bon m'sieur Frodon!

On rattrape les nanars jamais vu de l'ancien temps. Où l'on se doute du carton chez le loueur de VHS. Marvel pas prêt en 89 pour le cinematographic universe.

Les sourcils de Luis Tosar d'un genre gardien d'immeuble gros psychopathe à qui tu ne laisserais sûrement pas récupérer tes colis en ton absence. Du psychopathe bon.

Ultimate baston sans concessions. 3eme pugilat sans faute d'un gars qu'on appelle Timo Tjahjanto et maxi respect à la petite Aurora Ribero qui tatane sale. J'assume le 9/10. Du rixement bon!

La peur culture en dix neuf cent 82 qui se paie un Stephen King en lead. Gros coup d'vieux mon vieux.

Tristes tranches de vie découpées à la p'tite cuillère en plastique par un Iñárritu accompli. Un autre jamais vu triste bon.

Le diable s'habille en Kathleen Turner. Prequelle des Basic Instinct et autres Hollywood Nights émoustillants d'antan. Chaud 1981.

La Corse et ses criminels chaloupés. Hafsia Herzi n'en démord pas. Du bon!

Le nanar du dimanche pas soir avec mon fiston qu'on s'est dit tiens y'aura des bolides et de la bagarre. Scénario de Luc Besson lol.

La suite (et fin) de ce truc qui sent trop bon les années 80. Moins bien mais très heureux de retrouver nos p'tits super vieux. Et Courtney Cox before-friends d'une fraicheur rafraîchissante que ça doit quand même lui faire mal à sa chirurgie esthétique dégueulasse. Alleux.

Aaaah les années 80 et leur amour inconditionnel pour les gentils aliens. Ron Howard à la réalisation svp. Le film quadragénaire m'est passé au travers quand j'étais tout pitit. Watchlisté moyen bon.

Un autre dans le tiroir des neverWatched. Sigourney en apothéose face aux gorilles en voie d'extinction. Du 88 bon.

Dafuck on vient de justwatched avec mon fille. Bonne nuit.

Pression de la douane ressentie pendant 1h14, tant d'intelligence au service de ce tout petit huit clos espagnol. ¡Bien hecho!

Petite Zoé deviendra grande et Get Out a fait des p'tits. Réussite en tout point portée par une Naomi Ackie et une Adria Arjona qui trucident littéralement l'écran. Du très hard bon!

Korean samurai showdown maîtrisé. Joe Taslim vilain méchant en fait des caisses mais laisse. Du bon!

Nanargator. J'ai ri.

Sean Peine et cyclops au bout du bout du dark chez les urgentistes dans le très dark Brooklyn. Aller.

John Rambo de retour sous un nouveau jour. Close rednecks combat vtt jiujitsu clef de bras yeux verts à mollette. Du bon mais bon.

Malaise d'un acting et d'un scénario dégueulasses. Mais, oh grand mais, Bilal et Adil se sont fait plaiz aux manettes et certains plans valent le coup clairement. Et DJ Khaled qui prend cher. Oubliant.

Le tout dernier de l'incommensurable McTiernan qui a déjà plus de 20 ans d'âge. Point de chute d'un des réalisateurs qui m'a fait sur-aimer le cinéma d'action houllywoudien des 90s. Au-revoir.

Séance rattrapage jamais vu. Les sujets fâcheux du méticuleux Steven Spielberg. Après la scène de la douche, la scène du bateau. Les poils et les larmes.

La bagarre spectaculaire tentaculaire. Hymne à la joie des Once Upon a Time in China et autres grands spectacles zone 3 remis au jour du goût. Réjouissance! (Merci Luc!)

Du beau monde au prime de son prime. Du prime bon.

Les aventures du pitit chat (et de Lupita) au day one de l'invasion des extra-terrestres misophones. Aller bon.

Le temps odieusement jadis. Du pas bon mon p'tit, le monde a changé depuis.

A la poursuite des blockbusters de 1989. Pas revu depuis tout pitit. L'après Aliens d'un James Cameron qui s'est dit "c'est bon jai la recette pour faire des pépettes". Du pas vieilli bon!

Quand n'en a plu mais que Dura n'en veut encore... A la manière d'un Love Death Robots, 6 très courts maîtrisés mais vite oubliés.

Il aura fallu attendre quasi 40 ans pour avoir enfin une vraie mortelle sequel de l'Alien (même si j'affectionne les autres 3-4 d'antan). Fede Àlvarez se pose avec respect et envoie un coup de fraîcheur à l'une des franchises préférées du Dudu. Multi-clins de l'œil généreux et Cailee Spaeny héroïne qui fait de son mieux. Du merci très bon!

Tout l'art du véritable blockbuster made by James Cameron. Vu, revu et toujours conquis par l'imposante et redoutable Ellen Ripley. James Horner à l'OST inégalée. Excellence 2!

Le puissant numéro 1 du nom sorti en 1979, c'est dire la vision d'un Ridley Scott visionnaire, au point de départ d'une machine qui en aura fait du chemin. Le cœur battant pour Sigourney Weaver true héroïne intarissable. Excellence.

L'immense Kevin Costner se prend les pieds dans son immense fresque (prévue en 4 volumes). Un chapitre un aux multi récits montés façon raccourcis qui pose les marques de ce qui pourrait être (sur le papier) du vraiment bien. Wait for la suite.

Bollywoud nous la joue mortal kombat dans le TER. Que les choses soient claires : c'est mauvais. J'ai vu et revu tellement et retellement mieux dans le genre bagarre sans filtres. La hype donc autour de ce truc pue duc. Monkey Man tellement de fois plus merveilleux.

L'Amérique wouhouuu!

Sorti direct pendant la pause du Celleur. Fanfaronnade interdite aux moins de 16. Bagarre et multi clins d'œils caméo-isés pour les marvel-fans fatigués dont je fais évidemment partie. Du grand Jackman qui dit fuck off, du aussi grand Reynolds qui maîtrise le sujet, une spéciale pour la méchante jumelle Emma Corrin que je ne connaissais point. Quelques facilités et du copinage palpable mais je ne boude pas le plaisir que ça a été. Aller.

Revu dans l'avion (et donc dans d'exécrables conditions... coucou Corsair) ce chef d'œuvre de 1989 qui envoyait du très lourd pour un petit gars de 9. Du pour toujours bon!

Après Philippe Poutou voici venir Pilou Asbæk (déjà vu en très méchant dans GOT) dans une prod Danoise captivante. Simplement bon.

Quand Danny Boyle réinventa le zombie movie avec sa Canon XL1 ultra basse def. Énorme claque de 2002, still énorme claque en 2024. 28 years bientôt.

Ramassis au box-office et massacré par les critiques (la note IMDb refroidie) avec aux commandes un Matthew Vaughn génie incompris qui étonne encore et toujours dans ses mises en scènes d'action d'une folie que les gens n'ont apparemment pas compris (mais que j'ai trop apprécié en vré). Du bon pour l'action. Du moins bon pour la coupe en brosse des années 88 de l'Henry Cavill.

Un petit Z flick tout propre qui se laisse regarder. Des indiens de bonne guerre immunisés et du saumon zombie presque bon.

Pierre Niney règle ses comtes. Belle réussite qui n'omet pas le surjeu de certains mais oui c'était vraiment bien.

Le deuil porté par Jake des caisses Gyllenhaal qui pour une fois le joue authentique. Du bon.

Lettre d'amour au western cinéma d'un Viggo à la réalisation mélancolique. Du graduellement beau.

Alchimie cheloue de la romance Ryan Playmogosling Blunt. Quelques punchlines aller sympa bon mais sinon oui mais non. Même sentiment que le Bullet Train du même vrai cascadeur David Leitch.

Four de 1998 à l'ambiance Dawson's Creek. Hey Leonard post Big Bang Theory déjà dans le rôle. Retour à l'oubli.

Après la méga claque oméga triste du Lion, nous nous sommes lancés sur ça. Tristesse et folie humaine sans les poils mais larme à l'œil quand même. Du bon!

Road trip propice et légèrement agaçant du Kitano grand. Allant.

Takeshi Kitano en toute jeunesse et imperturbabilité qui tarte sur du Erik Satie du dealer sans frein. Escalade violence bien.

Buzz à festival avec du sketch original. Aller.

Combo larmes à l'œil x les poils. Dustin O'Halloran pianiste de génie. Dave Patel d'une justesse telle. Du très absorbon.

La puissance variable : des décors post apo de folie, de la singerie numérique réussie, une bande son et ambiance impeccable, mais un scénar quelque peu trop facile parce que comme d'hab j'en attends bien trop. Du POTA bon!

Le meilleur aux yeux du Dura qui n'engage que moi. Numéro 3 du pionnier Romero qui pousse le zombie mythe jusqu'au bout du bout et qui en inspire tant encore aujourd'hui. Prodromique.

Un autre anecdotique qui se veut être très bien sur le papier. Réalisé par fille du grand Mann, porté par plein de gens biens mais encore bien trop loin du puissant True Detective saison un. Oubli hein.

Vide.

La boucle est bouclée.

Avant sa trilogie xxXxxXx slashie toute pourrie, le Ti West s'est essayé au western tout pourri. Budget claqué sur 3 acteurs (dont une Karen Nebula Gillan qui fait n'importe quoi) et sur la loc du studio plein air. Je need un vrai bon western movie.

La détresse tout en justesse.

Machine Reacher punk à chien casse les dents des méchants casseurs de grève. Déjà vu.

L'ancêtre qui aura marqué plus d'un zombiefile. La suite logique de la Nuit par l'immense Romero a vieilli mais reste tellement patrimoniale aux yeux du zombiefile que je suis aussi. Du bon for eveur.

Un autre adoré que j'ai clairement détesté. Malaise démesuré.

Un autre à la critique dithyrambique pas foufou et bien mou. Anne Hathaway la joue en blonde et la mini Thomasin McKenzie grandit post Last Night in Soho.

Anecdotisme persistant des DTV persistants et John Snow qui fait le méchant. Oubliant.

Du kaiju tout mignon pour faire plaisir à mon fiston. Bien foutu techniquement, aléatoire scénaristiquement, mais bon moment.

Pitch intéressant, Nicolas oméga Cage chiant. Oubliant.

L'anti Banshees d'Inesherin avec la même Kerry Condon habituellement toute douce et qui pour le coup est vraiment méchante comme tout, et un retour au bercail pour le vieux Liam Neeson qui peut péter son plus bel Irish accent, et Joffrey, et le grand Julius Caesar. Du bon!

Douceur mélancolique dont seul Kitano a la recette. Joe Hisaishi en scoring. Du très bon. Vite les autres.

Le truc tout vieillu ultra eighties aux dialogues malaisus aujourd'hui ressentu.

Tout comme celui d'avant récitant très poliment. Des caisses pour Eva Green.

Quand tu cherches du postapo-movie et que tu lis que celui-ci est normalement bon. Tyrion moyen moyen bon oublions.

Les talents rigolos du Powell qui change de peau (et qui pendant 30 secondes campe un Patrick Bateman en toute excellence). Adria Arjona crève les yeux qui regardent l'écran. Curieusement mignon bon.Classic Oliver Stone x Pacino Shit. Grand puissant américain bon.

Classic Oliver Stone x Pacino Shit. Grand puissant américain bon.

Cronenberg fille de se foire complètement sur un air de purge déjà épuisé. Fatigué.

Le beau cinéma qui étonne là où tu ne t'y attendais tellement pas. Oui je vieillis.

Énième movie vendu comme du très bon. L'impression d'être devant la tv sur m6 un jeudi après-midi. What if Jesus est encore là parmi nous tranquille le chat pépère la galinette? Vite oublions.

L'appât du gain fauché avec quand même quelques bonnes idées aller.

Le grand cinéma du grand Ridley Scott (je fuis son Napoléon). L'honneur le vrai.

Vincent Dedienne s'enfonce gentiment dans le mensonge. Oubli gentil.

En quête de post-apocalyptic mouvie. Vision de 2024 sortie en 1975 avec le Don Johnson vraiment jeune. Truc culte que je comprends vraiment pourquoi c'est culte avec de beaux plans dedans mais à l'histoire d'un autre temps qui ne passe vraiment plus de notre temps. Checklisté allons bon.

Bill Skarsgård fait la bagårre tout comme dans le grand The Raid. La douleur par delà l'écran. Du mignon bon!

En parlant de nanars... Quand même le fiston te dit que c'est pas dubon.

Les critiques lui ont vomi dessus, mais en vrai de vrai c'était vraiment pas si mal en vrai, contrairement à d'autres encensés de partout (cf mon petit furiosou). Snyder s'est clairement fait plaize et a voulu faire plaize au cinéphile qui en a mangé du nanar des années 80.

Guy Ritchie continue de faire du bon Guy Ritchie. Henry Cavill X Alan Ritchson (et tout le chic monde) flingassent et tabassent avec flegme. Du bon!

Noooooooooooooooooon.

Curieux désintérêt.

Rdv demain 16h sur le parking de Lidl. Je choisis les armes.

Dérèglement pandémique avec du l'amour beau dedans. Du Max Richter bon!

True Detective avant l'heure. Les essais d'un Sean Penn qui se veut grand réalisateur et qui édente sa Robin Wright de l'époque. Un des derniers du grand Nicholson. Oublié à sa sortie. Vu et oublié encore aujourd'hui.

Tictictictictictic...

1986, les années pop uniques. Ce film ouvertement méga-fun pour un tout petit de 6 ans, qui a évidemment pris une méga tarte de racisme et de misogynie comme on en fait plus. Du bon parce que c'était bon.

Chaud 1989. Émancipation totale d'une Kristen Stewart qui tape dans le registre totale violence et qui rappelle une totale History of Violence. Katy O'Brian à la pointe du biscoto. Du très étonnant total bon.

Le remake formaté qui fait peur et sonne faux et et qui ne rend pas hommage au vrai du vrai. La moyenne parce que je suis un gars sympa.

Retour aux sources réussi et bande son de folie. Hommage.

L'objectif devant derrière en temps de civile guerre. On l'espère moins divinatoire que celui just'avant. On s'en approche tellement...

Coup de maître divinatoire.

Taika Waititi storytelleur footballistique fort sympathique. Bon moment bon. Et Fassbender tongues chaussettes blond.

Cronenberg en roue libre.

Antoinette Calamy dans les Cévennes se lance sur Tinder. Mais pourqouaaah??

Belle réussite de chez Disnez+. L'art de la guerre et du self contrôle made in Japan d'autrefois. Du bon!

Ocean's Cinq de 1972. La classe de la punchline à la framboise. Du vieux bon.

Slumdog réalise avec panache (et a donc tout compris). Du très bon qui fait du bien bon.

Rey Skywalker dans le marais. Allais.

Suite et déjà fin du Vice à Tokyo. Du bon!

La Fronce monte son petit niveau de films de genre. Du bon!

Jesus was black!

Les petits débuts du James Gray à la petite ambiance godfatherisée. Mark Wahlberg légumé. Charlize Theron fraicheurisée. Joaquin Phoenix prégladiatorisé.

Les 30 ans d'une touchance d'un Costner au top du top de son top porté par un Clint réalisateur et acteur se déportant au second plan. 1993 je vieillis.

La suite de la suite du futur de 2022. Monde merveilleux. Vive Frank Grillo. Oublio.

La suite du futur de 2022. Avec un peu plus d'un peu plus. Et Frank Grillo. Aller suite.

2022 le monde a deja sombré. Aller.

Ma 6t va craquer du futur. Kano l'acteur est bon. Des longueurs moyen bon.

Insipide saxophoniste. L'entre 2 armes fatales pour le grand Mel. Du très moins bon qui a pris une grosse tarte à la cheap. Rions aussi.

Une petite étoile parceque quand j'étais tout pitit j'adorais ce mouvie. La Canon prod a fait des dégâts dans les années 80. Rions.

Paye ton abo amazon déprime. Cabotinage à tous les bas étages. Pour la bagarre.

Le truc à voir quand j'ai petit. L'anticipation mignon. Allons.

Purge romantique Clint Eastwoodique charismatique.

Huit clos danois malinois.

Titanique.

Uniquement pour le fiston. Mignon.

Tranches de vie de Jean Pierre Bacri. Du bon!

Érotisme de 1993 cf la zigounette de Bad Lieutenant Keitel et le boule du Jurassic Neill. Allons non merci.

L'avant Pablo pour Wagner Moura. La Cité de Dieu vue côté de l'impitoyable BOPE. Du bon 2!

Rise and fall d'Emily Blunt Louve de pas Wall Street. Oublions encore.

Le patriarcat couillu de 1977. Et une affiche de Frazetta.

Mignonnance du futur. Le futur c'est maintenant.

La gloire de mon Pére pêcheur de l'Amérique. Oublique.

Baroud d'honneur d'un Pierce Brosnan en fin de parcours agrémenté du tout dernier d'un James Caan. Aller.

Grand spectacle sablé désiré. Villeneuve maîtrise. Un presque 10/10 impressionniste parceque Timothée Salamèche légèrement constipé et Javier Bardem cabotiné mais au delà de ça, la puissance est là.

HBO met la touche finale en métrage long d'une série que me tenait à cœur. J'espère de tout cœur la même pour le grand Westworld.

Eddie Redmayne est un psychopathe.

Margie Robbot détourne un Peaky Blinder. Ragnar reviens!

Shawshank avant Shawshank. Du bon vieillissons aussi.

Vincent n'a pas d'écailles fait une rencontre du troisième type qui n'est pas Louise Bourgoin. Hypnotique.

Arnaque et pas botanique. Mignon bon oublions.

On n'est toujours pas prêt... Survivalisme hors champ triste bon.

Samurai showdown un peu cochon et sans concession. Vivement la suite bon!

Du beau avec si peu. Feel good bon.

L'épique en 1981. Un autre attachant qui a vieilli. Kaamelott d'Astier n'est pas si loin.

Le turfu pas si fu. Allu.

Un autre puissant fascinant d'antan. "Is it safe?"

La perf d'une Blanchette. Allons.

Ce mauvais navet.

Sean Connery enquête exclusif chez les moines pas Shaolin à l'ancienne. Le culte jamais vulte. Aller.

Un produit pur Commando 80's. J'ai ri. RIP Carl Weather.

Les débuts hollywoodiens du grand Verhoeven, boosté par une musique épique d'un Poledouris qui boostait déjà du Conan le Barbare d'avant. Du bon vieillissons.

Western sauvage interdit aux moins de 18 qui sort en 1969. J'ose à peine imaginer les réactions des prudes de l'époque. Chef d'œuvre hypnotique d'une puissance avant-gardiste si puissante et sale. Du très bon!

Stathane et sa casquette sauvent le énième navet d'un Ayer qui ne fait plus que des navets. Pour la tatane et encore...

Film de genre de la Fronce s'il vous plaît. Une belle réussite s'il vous plaît.

Le juste après Parrain de Coppola. Des longueurs pour ce cri du cœur d'une société Nixonnienne sur écoute. Du vieux long bon.

Survival de 1979 les mecs. En voici un qui mériterait son p'tit remake au bon goût du p'tit jour.

Reacher et Neagley cassent des méchants sans sourcillant. Une énième préférence pour la surprise de la première saison. Alan Ritchson a tout pour une vraie carrière d'actionneur. Next avec Henry Cavill chez Guy Ritchie.

Alors alors... Le blockbusteur de chez Netflixxx par le grand Zack Snydeur vaut-il le coup? Personnellement à mon sens subjectif à moi de moi, OUI. Lettre d'amouuur aux films de ma jeunesse, où l'héroïne monte sa team pour vaincre le mal. Voilà tout. Vivement le part deux.

Bonus père fiston. La première saison avait laissé une très bonne impression. La deux s'est laissée apprécier au compte gouttes tranquilloute.

La page se tourne malgré l'éternelle sympathie pour le MCU et sa Super Saiyan Brie. 2023 aura sonné le glas des films et séries super-héroïques avec un Disney Plus qui se prend les pieds dans le tapire. On jugera l'unique Deadpool pour 2024. Advienne 2025 que pourra.

Le choix très discutable du Guillaume Canet hurlant sous la pluie (acide). On attend le troisième du dorénavant bon réal Just Philippot. Aller.

Mais c'était plutôt bien ce petit flick là avec une Shailene Woodley en brand new Clarice Sterling versus mass killer fou. Du bon moment bon!

L'Amour tragico-dramatique.

Jolie dystopie prévue pour 2022. Nous sommes en 2024 et Charal cache encore bien son jeu.

Diane Kruger mélange les crayons de couleurs (oui le roi de la rime). Dommage moyen bon.

La vengeance est un plat qui se mange. Bravo les hommes...

50 nuances de Gal Gadot. On oublie aussi.

Quand tu cherches un bon flick pour bien commencer l'année et que tu t'es planté. Jennifer Connelly oubli.

Le dernier de l'année. Joie intergénérationnelle.

Le vrai beau cinéma.

Quand John Boyega n'a pas reçu sa pension invalidité. Aller.

Mel Gibson doit payer ses factures. Gâchis oubli aussi.

Dar Salim de retour en Punisher danois. Oubliois.

Pauvre Michael Fassbender...

On n'est tellement pas prêts. Par le gars qui sait (cf Mr Robot que je ne connais pas).

Nerds of Reddit vs le pouvoir des milliards. Oui bon d'accord.

Anecdotisme moyennement fun plus que moyen. La moyenne juste pour Awkwafina.

Anatochute d'une mie. Théâtral.

Thandie Newton fait son As Bestas. Oublions mais bon.

Brand new generation teen movie. Vivons avec notre temps. Mignon.

Intérêt zéro. On tient en se disant qu'on aura une fin à la Tyler Durden. Sauf que spoileurement non.

L'autobio d'un James Gray. Plutôt bon.

Anecdocreed trois.

En vrai celui-là je le justwatch tous les ans. Frazetta si grand.

Paradoxe temporel déconcertant (et légèrement fatigant). Bon moment quand même. Bonne nuit.

La France a un incroyable talent. La team derrière l'adaptation animée du génial Lastman au charbon pendant 3 ans pour 1h20 de références à tout ce qu'on affectionne dans la science-fictionne. Du bon!

Soderbergh se perdgh (et embarque tout un car de mega-stars avec lui). Du moyen relou bon.

L'épique histoire du comment du pourquoi du plus grand jeu vidéo russe de la terre. Mignon.

Il y a 30 ans, Donnie Yen dirigé par Yuen Woo-ping. Kitch mais bon!

Hey mais comment c'était bien ce petit netflick! Une jolie caricature de lascars-land sur un plateau. Nassim Lyes a tout pour lui. Et Zoé Marchal fait du MMA. Du bien!

La colossale claque de mes 20 ans, point d'orgue dans l'amour que je porte pour ce grand cinéma, celui des poils qui s'hérissent et de la larme à l'œil. Du grand!

Les prods Netflix se suivent et 95% termine dans le puits de l'oubli. Celui-ci n'échappe en rien à la règle malgré la perf du Bale qu'on aime. Un autre bon oublions.

La mega classe dans l'espace animé. Quand justement le pote Luc te parle d'une envie soudaine de SF. Formidablement très bon!

Le surjeu grammatico-mathématiques. Mais jolie story quand même.

Bruce Brokovitch en bataille pour redorer le blason de los avocados de los Estados Unidos contros los multinationalos qui empoisonnossent los ploucos. Du bonnoss.

Les tribulations sponsorisées par Netflixxx de Fincher et Fassbender partout sauf en Chine. Du bon oublions.

Oui mais non.

Les larmes bon. Et comme dit si bien Michel Sardou : "laisse pas trainer ton fils, si tu veux pas qu'il glisse."

Désintérêt au complet. Jusqu'à cette formidable scène finale d'un Loki devenu dieu rédempteur nordique de l'ordre et du temps. Du moyen bon désintéressé et stylé quand même.

Remake japonais assumé du si puissant Impitoyable by Clint Eastwood. Un côté quelque peu épique par sa musique et porté par un Ken Watanabe fort inspiré. Du bon!

There's no point in praying. Pétoche satanique post hallouween. Jump-mega-scares argentin bon.

Où l'on reparle du doublage vf digne d'un film de fesses. Saga du jeudi (encore un) à la pointe de la magnifique mouvance d'aujourd'hui. Allons moyen bon aussi.

Les loubards du temps jadis. La moyenne pour Alice Isaaz qui hurle comme jamais. Du très moyen bon.

Xavier Gens applique la recette bagarre chan-mée de son Gangs of London co-réalisé. Respect à Nassim Lyes très bon en nouvel actionneur de la Fronce. Du bon!

La guerre des sexes brand new. Quand l'homme con vrille et s'enfonce. Allons.

Film attendu visuellement puissant, quelque peu déçu par son script d'avance couru. Gareth Edwards a pris son temps et s'est fait plaisir. J'en voulais plus mieux.

Les rires du fiston 2. Du Jackie vs Donnie bon!

Les rires du fiston. Du Jackie bon! (Et bien plus fun et maîtrisé que les Rush Hour d'avant).

Les trop grands moyens pour un truc trop moyen. Masterclass d'acting en costumes bourré aux bons sentiments à la limite de la régurgitation. Oublions.

La saga du jeudi de retour sur Netflixxx. L'histoire vraie et romancée d'une manipulation nanarcissique à son plus haut niveau qui rappelle un petit arnaqueur de Tinder.

Work and Travel program chez les australienpithèques. Chouette de revoir Julia Ozark Garner.

Session Jackie Chan pour mon fiston 3, avec dans l'idée de lui montrer du Jackie dans sa période blockbuster Hollywood chewing-gum. La divertissance navrante.

Session Jackie Chan pour mon fiston 2, avec dans l'idée de lui montrer du Jackie dans sa période blockbuster Hollywood chewing-gum. La divertissance navrante.

Session Jackie Chan pour mon fiston, avec dans l'idée de lui montrer du Jackie dans sa période blockbuster Hollywood chewing-gum. La divertissance navrante.

La boule au ventre pour cette ultime lettre ouverte d'un Scorsese à l'Amérique et à la foutue race humaine d'une cupidité à gerber. Du très bon.

Petite surprise SF avec un Pedro Pascal just'avant qu'il ne devienne mandalorian. Étonnamment bon aux multiples plan très bons malgré un low budget évident. Bon.

Ça sortait en 2001. Peu ambiancé à sa sortie, je me permets donc un revisionnage en 2023 et reste quand même sur ce même sentiment mitigé. Spielberg fait mouche mais tape hélas trop dans son délire intimiste téléphone maison.

Le grand Denzel au bout, même si je lui souhaite encore beaucoup. Une carrière et un acting de toute beauté rien à jeter. Ce 3 suit les traces des 2 autres plutôt moyens mais qui se laissent mâter. Encore aller.

Un 10 pour le Al Pacino post-Godfather que j'idolatre. Un autre jamais vu qu'on se demande pourquoi. Du très bon!

La misère et la sale race humaine mis en boîte tout en justesse. Du Audrey Tautou bon.

Titus Stevenson feu Pullo en mode irish gangster très moyen moyen. Sorte de movie que les studios veulent vite jeter dans le puit de l'oubli. Moyenmoyen.

Bagarre, bagarre et bagarre (de jedis). L'enfant qui rêvait devant l'Empire Contre Attaque en a pris plein les mirettes. Pas fan du choix du Thrawn et encore moins de ces innombrables ouvertures scénaristiques, mais du bon quand même.

Les Coréens de la Galaxy. Imbuvable car trop mal interprété puis buvable quand même car des scènes épiques dans l'espace qui m'auront fait tenir jusqu'à la fin. Bon moment tiens.

Session Spike Lee Round 5. Plaisir de voir Harvey Keitel et d'autres habituels. Le hood de 1995 raconté à la Spike Lui au doublage tellement raciste et malaisant qu'obligé tu passes en originale version.

Session Spike Lee Round 4. Naufrage polygamique chelou, quand le virtuose se foire chelou. Du moyen bon au doublage tellement raciste et malaisant qu'obligé tu passes en originale version.

Session Spike Lee Round 3. La rage qui l'habite brisera vos murs. Du bon jamais vu (et oui...). Spike et Denzel d'une humanité une nouvelle fois si maîtrisée. Tarte intemporelle de 1992 au doublage tellement raciste et malaisant qu'obligé tu passes en originale version.

Session Spike Lee Round 2. Les adieux d'Edward Norton dans son prime post 9/11. Un autre hypnotique très bon d'un Spike dans son prime aussi au doublage tellement raciste et malaisant qu'obligé tu passes en originale version.

Session Spike Lee Round 1. Très certainement mon préféré de tous. Une patate mach 3 ultra terre-à-terre au basketball US business et ses sous-travers mis en scène et interprété d'une main de maître. Du très bon au doublage tellement raciste et malaisant qu'obligé tu passes en originale version.

Le retournement de tripes, les poils, la totale pour un film au sujet pedo-trafico-vomitif. Du très bon Jim Caviezel qui remonte la sale filière. Based on a true story.

La Corée en mode survie post-catastrophie. On se doute qu'ici ça serait la même aussi. Du bon.

Ou la sale race. Du très bon.

Ce coup de génie des années 93. C'était du bon.

La relouève. J'aime toujours bien Alban Lenoir mais tellement pas possible dans cette ambiance téléfilm du jeudi vomi avec une Sofia Star Academy Essaidi vomi aussi. Vomi.

Parceque j'aime bien Alban Lenoir. Sauf que c'est celui de 2015 qui débute doucement dans des prods poubelles la vie. Oubli.

E.T. la revanche. Jolie perf qui se targue de nous tenir en bonne haleine avec zéro dialogue. Du Hulu bon!

La pétoche en vrai... je vite need une comédie d'amour romantique pleine de joie et de couleurs pour daltonien.

Petite histoire d'amour père-fille sur fond d'empoisonnement de l'usine de Springfield. Mignon.

Moins cinglant que son Triangle of Sadness mais tout autant ultra réaliste sur notre formidable humanité. L'impression de sortir de réunion.

L'hypnose d'un Terence Malick qui s'apocalypse now porté par une full brochette de mecs qui jouent la pétoche comme jamais. Du toujours bon.

Les Expendables avant l'heure multitestosteroné et surjoué qui frôle le malaise et qui aimerait rappeler un certain Commando des 80 années. Plaisir à peine coupable.

Du plan visuellement noir et blanc puissant. Se7en like in Hong Kong ultra dark qui pousse le bouchon.

Purgeance de la vase qui fait déborder la goutte d'eau.

One time to watch movie qu'on sait qui c'est le tueur à la fin de la fin. Du bien.

Sheridan x Hillcoat dirigent de la traque de terrotriste. Tenu en haleine full day. Et Nicole Kidman figée qui fait reup.

Quand l'Alain Deloin était au top du top de son top. Un autre temps.

La douleur by Sean Penn. Du jamais vu très bon!

Mastermegaoverclasse d'un Jonathan qu'onnaime (et eeencore Raphaël Quenard). Du cri de rire bon avec punchlines qui resteront dans les annals.

Sofia Coppola se re-paye Bill Murray. Tranche de vie New-yorkaise Rashida les yeux tout mouillés. Allons.

Mignonnance aux quelques sourires avec du Palmashow rigolow.

Buster Qui Ne Rit Jamais Keaton. Nouvelle lubie du moment. Incalculable.

SPLENDID!!!

Buster Qui Ne Rit Jamais Keaton. Nouvelle lubie du moment. Démesuré. Attention énorme blackface et racisme d'antan inside.

Les ninja turtles remises au goût du jour. Du fun bon!

Buster Qui Ne Rit Jamais Keaton. Nouvelle lubie du moment. Phénoménal.

Buster Qui Ne Rit Jamais Keaton. Nouvelle lubie du moment. Monumental.

Buster Qui Ne Rit Jamais Keaton. Nouvelle lubie du moment. Formidable.

Indiana Ford et le quadrant de la destinée du deepfake perdu. Foirade moins foireuse que l'arnaque d'avant mais foirade quand même. Éternelle affection aux arche perdue et dernière croisade. Adieu.

Purge des 90s full of plein de bons sentiments bipolaires qu'on n'en fait plus des comme ça. Perf d'un Pacino possédé qui récite son texte de charretier. Applause finale dedans.

Complicité anecdotique perdue. Mais qu'ils sont sympathiques quand même.

Masterclass glauque et triste de notre Adèle nationale. Justesse et rudesse d'un Dali Benssalah que j'aime bien. Les autres s'en sortent avec force et honneur. Restaurativement.

Buster Keaton ce génie de la cascade mélancolique de quasi 100 ans. Merveille.

Raphaël joue le Quenard champêtre. Presque juste.

Mignonnerie.

Feu Heath Ledger inspiré dans un film héroïque inspiré (et stylé). Et les débuts d'une Bérénice derrière.

Après Lino, voici Franco. Alban Lenoir au service de la bagarre de la Fronce.

Pétard mouillé.

Fort mieux que son Tousser fait péter. Avec ultra twist rocambolesque qui nous a fait hurler. Aller.

Vu, tenu, oubliu.

Avant The Boy and The Beast, ce petit bijou d'animation là aussi. Voilà.

Énorme kiff à voir depuis un moment. Une réussite de toute part. Dans le top des tops.

Virtuosité animée miyazakée. Le fils a adoré.

Ce film qui a hanté une bonne partie de ma vie fête ses 70 cette année. Alors oui ça a vieilli, oui on parle d'un temps que les moins des 40 ans ne peuvent saisir, mais voilà, patrimoine les mecs.

Survivalisme hors piste hors saison. Allons.

Pépite beaume au cœurisée. Comme quoi le cinéma françois y peut quand y veut.

Podcast trou story visuel. Aller.

Epilogue du détective trench-coaté le plus bad-ass d'Angleterre vs Gollum. On oubli aussi.

Récitation polie quoi qu'un peu crasseux les messieurs. Allons bon.

Bombe atomique.

20 ans d'âge assez bien foutu et perdu dans le tiroir des films à voir.

François Civil infiltré chez les punks à chien (c'est pas moi qui le dit). Plutôt chouette et juste bon.

Karim Leklou qui excelle. Bouleverson.

La fin du DCEU lancé par un Zack Snyder à son apogée, plombée par un WB studio qui en a fait du gros navet. Trop de promesses pour trop de malaises. Pourtant Bat Keaton j'y croyais, encensé par Gunn lui même, ce presque tout dernier donne la nausée. Clic droit - Reboot.

Mission pas possible 12, où le méchant c'est une AI, et où notre bon vieux Tom en a 60. Spectaculinaire. Vivement le 16.

Quand même le fiston te dit que c'était bof.

Le sursaut magistral de mon enfant. Magistrale Kathy Bates qui joue du psychopathe bipolaire. Du 90s bon!

Raphaël Quenard et son accent franchouillard qu'on voit tout partout. Oublions celui-là aussi.

Hakim Gravity Jemili. Oubli.

Chris Pine au bout du relou. Vu et oubliu.

Je quote mon enfant "Amélie, jeune sociopathe atteinte de troubles autistiques, mais également de daddy et mommy issues, découvre l'amour." Et j'ajoute que j'avais détesté à sa sortie car très certainement hermétique au buzz de l'époque. Mais qu'aujourd'hui v'là t'y pas que j'ai trouvé le tout touchant et mignonnant.

La toute douce Alicia Vikander dans un mood Tokyo Vice. Doucement bon.

Du grand art d'une maîtrise telle qu'on savait faire en 2002. Le tout dernier d'un Paul Newman que j'apprécie sur le très tard. L'un des premiers d'un Daniel Craig d'avant Bond. Une perf d'un Jude Law. Et une pensée pour le petit Tyler Hoechlin qui aujourd'hui porte slip et cape rouge en série tv. Du très bon!

Scorsese avant Scorsese. Checklisté.

La hype en deçà. Mais bon moment père fiston.

Shawshank avant l'heure avec un Paul Newman au summart de son met.

Quelque peu trash et tout autant réaliste quant à un éventuel effondrement sociétal qui pointe le bout de son bout par chez nous. On reste là dans du fictif mais ça fait mal aux cheveux quand même.

Destin tragique d'un Baby Driver et d'une Divergente avant l'heure. Parceque mon enfant m'en a dit du bien.

Kawajiri inégalé. Salement bon.

3 petits épisodes d'un genre démo technique d'un donghua qu'on appelle comme ça là-bas. Séquences folles d'actions animées qui en mettent plein les mirettes mais scénaristiquement ras la pâquerette, voir malaisant. Motivé par la BA d'une saison 2 qui arrivera en juillet. Wait et voir.

Les tribulations molles d'une famille coréenne en Arkansas. I miss Glenn.

Laetitia Shuri Wright tendance western versus Billy Elliot. Film fauché quoique quelques plans et une bande son maitrisés. Aller.

Dans l'autre dossier towatch-mais-laisse-tomber depuis plus fort longtemps que celui d'avant. Où l'on comprend le pourquoi du comment du culte de celui-là. Mais je n'adhère pas.

Dans le dossier towatch-mais-pas-la-foi depuis fort longtemps. Les 4 filles de Saul Goodman dans l'oubli.

Bagarre, puis bagarre, puis bagarre, puis bagarre et enfin bagarre. Manque juste un "j'aime me battre" et on est bon. Bagarre.

Dr Sherlock Strange Comberbatch en perf actor's studio moins 20 kilos (ou c'est du numérique, j'ai pas verifié). Un autre moyen bon.

King Ragnar et King Leonidas nonchalants font la guerre dans le désert afghan. Du bien moins bon que le Covenant du Ritchie dans le même thème vu recently.

Huit clos fauché costumé Mark Rylancé. Moué.

Alexa post covid minimalist. Allons.

Quand le Val et l'Oiseau Bondissant avaient la méga classe. Du j'en avais 12 bon.

Du grand art coréen comme on aime.

Anya Taylor-Joy et consorts qui préparent leur carrière. Dans la towatch-list depuis belle lurette bon.

Les grands moyens de chez Netflixxx pour un truc sans âme plus que moyen.

La vengeance est un plat coréen qui se mange froid concocté par le Park Chan-wook cuistot. Humainement bon quoi qu'un peu brouillon.

Spike Jonze divinatoire. Folie de l'AI nous y voici.

Ramassis de bagarre et de gunfights ultra sanguinolent sous fond de guéguerre intra gangs. Mais que fait la police? Du Sope Dirisu bon!

NON.

Robbiegame of Margothrones. Sympas les complots des années 1500.

L'amour vache danois. Dernière fournée de l'oubli avec le Salim.

Lupita vs un peu de zombies en sortie scolaire au Center Parc du coin. Pas fou, oubliou.

50 nuances de bons sentiments.

Toile perfectionniste.

Vigilante danois avec un Dar Salim apprécié. Du on a vu mieux oublions.

Aniki Kitano filme, scénarise et bute du Yakuza en masse trois. Du moins bon que le un et le deux, limite le premier se suffit à lui-même. Fin. Enfin.

Aniki Kitano filme, scénarise et bute du Yakuza en masse deux. Du moins bon que le un.

Aniki Kitano filme, scénarise et bute du Yakuza en masse. Du bon.

Érotisme coréen en 3 actes sur l'A6. Du cochon bon.

Mais comment c'était tout mignon ce flick d'heroic fantastic. Un gros Approved pour Michelle Rodriguez de la famille qui tabasse sec. Du rondement bon.

Fraternité anecdotique.

Encensé ici et là pour un truc cradingue pas si fou que ça.

Méga claque d'un Guy Ritchie qu'on n'attend pas. Du survival afghan sous pression bon mes cochons.

The Infinity Family War Contre Attaque. Gros portnawak apprécié by père et fils. La tête qui fait non très souvent quand même.

Touchance.

Purge de l'espace porté par la perf d'un Austin cosplayer qui en fait des caisses et un Hanks sous prothèses abdominales qui en rajoute des multicaisses.

Espionnage et contre espionnage contre dramatique dramaturgique. Thandiwe Newton mignon bon.

Un peaky blinder en Arctic. Survie chiantique.

Un peaky blinder au chtar thaïlandais. Pression sale.

Tristesse.

La saga du jeudi sur grand écran peu transcendant. Vu et oubliu.

Lost in translation in Bucarest. Maika Munroe donne suite à l'It Follows sans les fantômes qui font reup.

Un Justwatched Approved parceque hype toujours. Gunn maîtrise et se permet même d'innover dans l'action et l'émotion. Oublions les légèretés scénaristiques et un paquet de dialogues à la poubelle. Bisous ma fille.

Adaptation libre et brusque du Robin du bush australien. Captivance.

Efficacité.

L'imposture plutôt bien fichure. Bernard Niney a tout mon respey.

La beauferie culte qui a inspiré OSS. Immangeable aujourd'hui.

La base d'un autre temps humoristique. Ça va couper.

Paye ton abo apple tv (merci canal). Ceci n'est pas du cinéma.

Turfu cinématographique bradburique dystopique qui a cheapement vieilli.

Encouragé par sa Boîte Noire qui était ienb, on se lance dans la filmo du Gozlan. Francois fait la moue. Oubliou.

La privatisation de la nature mise en exergue. Du Don't look up à la Françoise bon.

Dupontel en pleine poignance. Partir sale pour ne pas être regretté. Du bon.

Adam Driver vs Jurassic Dinos. Débranche le cerveau.

Mais qu'il est bon ce petit Miney. Du bon métrage FR tout en efficacité.

Butez moi!, cria-t-il. Soupe indigeste quoi que j'ai quand même tenu sur les longueurs de cette série cinématographique qui se targue d'être dans les multiples tops des grandes réussites françaises. Checklisté et oublié.

La fin enfin de la bagarre sans fin et dans un paysage parisien s'il vous plaint. Super Keanu Wick se prend plus de super chutes et de super coups qu'il ne dit mots. Et chaque fois qu'il se relève, j'ai mal au dos. Voilà c'était bien, ma préférence va éternellement au un.

Sympa cette cinématique Nintendo. (Le fiston lui met un 10/10). Bonne nuit.

Mucho gusto Bardot Clouzot. Encore une belle leçon de cinéma bon.

Grand adepte du 12ème degré, fan de Niel et Adèle, je me pose sur le dernier Dupieux qui enchaîne les trucs que j'oublie de mater chaque année. Quelques sourires pour ce wtf movie et oubli.

De la bagarre coréenne d'une virtuosité folle à faire pâlir Keanu Reeves malheureusement rattrapée par une ambiance et un jeu ras la casquette digne des dernières prods coréennes cheloues. Mitigement bon.

Gentil buddy feel-good movie de 88 avec un Robert dans la fleur de l'âge. Dany Elfman en usance sur l'OST.

Le bac littéraire à Dunkerque. Oubliette.

British mob from 1980 les gars. Tout ce qu'on voit là s'inspire de ça. Tout petits Hoskins & Mirren possédés (et Brosnan quoi). Masterpiece.

Ovni culte et somptueux du temps pas si jadis. L'art du détournement comme on n'en fait plusss. Hazanavicius ce genius. (Et petit message d'Orson Welles à tous mes haters qui exècrent l'AI voleuse d'art.)

L'avant Family Business et le potentiel psychotechnocomédique d'un Niney que j'apprécie pleinement depuis ses prouesses chez LOL3. Du bon.

Premier grand film réalisé par De Niro himself. Leçon de vie subjuguée. Du juste bon.

Oh Night c'est quoi ce travail?? il est où le twist???

A force de tomber sur des sketchs Key & Peele. Dans ce rigolo-là on entrevoit l'amour du cinéma du fort réal qu'est le Jordan d'aujourd'hui. Mignon bon.

Insignifiant blackjackistant oubliant.

Bien avant Tony Soprano, la beugarre la vraie chez les mafieux. Déchaînement compulsif de clefs de bras, de coups de pieds dans les burnes et de rictus gênants qui font du bien. La classe d'un Seagal au top du top de son top à lui. ANYBODY SEEN RICHIE???!!

Bien avant John Wick, la beugarre la vraie. Avec en méga guest une Pam Grier et une Sharon Stone qu'on savait même pas que c'était Sharon Stone. Puissance de mon enfance.

Il en a fait du chemin le Jean François depuis Ma6tvakécra. Envie d'un actionneur presqu'à l'ancienne sympa cerveau zéro porté par Leonidas et Luke Cage qui font le job. Du bon passons.

Ce war-movie qui me fascina si jeune. La guerre sale par un Oliver Stone au summum de son l'art. Intemporel Adagio puissance divine.

Aquaman aux gorges du Verdon. Mignon.

L'art du myto franchouillard by Audiard post seconde guéguerre mondiale. Du bon.

Mais qu'il est bon ce Ricardo.

Notre belle race humaine. Fascinant.

Gros portnawak qui profite d'un gros buzz pour gros walou. Navet terriblement mauvais, mal joué, mal rythmé, mal ambiancé sous couvert de série b faussement assumée. Une attaque crado et encore. Oubli.

Brendan George Fraser de la Jungle aka l'oscarisé mérité. Aller.

9 petites semaines père fille haletantes adaptées d'un jeu-vidéo que je n'ai jamais pratiqué. Après coup on s'extasie sur chaque épisode maitrisé dans le copier coller qui donne envie de craquer et d'avancer sur une PS5 jailbreakée. Du très bon merci HBOn.

Guy Ritchie enchaîne et se fait plaize sur de la rythmique qui nous fait plaize. Sans compter Statham qui casse des glottes, Aubrey qui casse tout court et Bugzy Malone qui casse le rap game (en fait tout le cast qui casse la baraque). Du bon moment bon.

Masochisme du soir. Rictus minimums attendusses.

House of cartes. La politique de la Fronce vomitique.

Machination et diablerie en 1955. Les grands d'antan déjà au fait de la noirceur du beau monde.

Le patrimoine, le vrai.

Quelques barres de rigolades pour cette élection présidentielle dystopique. Votez Corinne!

Bad ass french dudes in the 70s. Lourdeur.

Ba merde alors, du cinéma argentin très bon et éminemment profond. Ce genre de cinéma qui continue de faire de oim un fou de cinéma.

Les évadés d'Alcatraz et de Shawshank peuvent remercier Roland pour son formidable tuto prison break. Bijou de 1960 d'une maîtrise folle.

Papa Cassel, Papi Ventura et Mami Signoret sont dans un bateau.

Aller, la petite fourmie qui se mort l'antenne dans le trop plein de multivers multiversel subatomique ta mère. Mais Kang (et MODOK) open bar quand même.

Masterwork d'un Watanabe à la rythmique ultra light. Les paupières lourdes.

Bad karma by night. Aller.

Heyyy, un autre formidable du panthéon des jamais vu. Excellent de voir toutes ces têtes à leurs débuts. Le film préféré de Tatie Binou.

Les débuts de vous savez qui que quoi quand. Grand.

Pour les yeux fous de Danielle Deadwyler. Du bon.

Poussé par un Macaigne dont j'adule la justesse barbue, calmé par une Kiberlain aussi juste qu'insupportable. Du mignon dans le bouchon, j'ai hurlé sur la fin.

Qui porte bien son titre. Visite parisienne laxative d'un temps où le Jean Luc Godard surfait sur sa vague. Aller bourrez bourrez!!

Les origines tout en argo d'avant Danny Ocean. Excellent.

Classic shit absolue.

Le joli patriarcat de 1954. Des punchlines comme on les aime "mon p'tit". Du hitchcockien toujours bon.

Merveille du monde.

L'émulation d'un Salieri VS le virtuose d'un Mozart magistralement mis en scène par un Forman accompli. Du bon!

Tout l'art d'un Damien Chazelles au summum de son art. Véritable lettre d'amour au 7eme art. Margot, Brad, Diego, toute une clique artistique puissante et merveilleuse. Du puissant bon!

Chef d'oeuvre intemporel dans le tiroir depuis trop longtemps.

Navrance cacastrophique d'un Marchal au bout du rouleau. Récitation de faux acteurs pleine de gros mots entremêlée avec zéro crédibilité. Star Académie x Validé x Bob Fontana x Cacade.

Chucky 2023 même pas peur. Bon metascore pour un teen truc anecdotique.

Attachement pour ce petit Nour.

Suspension et boulon de gomme qui tient en bonne haleine pour zéro dénouement. Dommage et chelou moyen bon.

Petit noir flick obligeant dans les flick à voir depuis trop longtemps. Du allons bon.

Sous-marinade très longue durée dans le top IMDb des films à mater jamais matés. Du très bon maitrisé et si bien joué.

Pauvre Huguette. Un premier césarisé avec une belle brochette de premiers qui gèrent l'écran comme des grands. Du bon.

Les dents d'sa mère. Quelques punchlines et encore.

On reste dans du feelgoud à la françoise porté par un Chabat pour le moins fort attachant débordant de plein de bons sentiments. Débordant.

Marina fait du feel goud Marina. Du moins bien mais bien quand même un peu parceque j'aime bien Marina.

Masterclass d'un encore jeune Tarantino subjugué par une Pam Grier reine de beauté. Du moins connu mais tout aussi bon.

La suite dans l'oubli. Fatigance.

L'avènement de l'IA vu depuis 1995 par le grand Mamoru Oshii. Du bon qui vieillit toujours bon.

Chef d'œuvre patate visuelle atomique et rythmique puissance infinitique. Vivement tellement la suite.

Passée l'anguille sous roche de la première demi heure, le génie du grand Hazanavicius prend le relais et fait kiffer comme jamais. Du bon!

La mignonnade qui mix plein de trucs mignondes, avec tout plein de gens mignondes. Oublionde.

Le turfu du passage à l'an 2000. Nous sommes en 2023 et tout nous ramène doucement à cette jolie dystopie. Puissance et justesse d'une Angela Bassett qui donne les poils dans un climax final aux petits soins. Du bien!

Pour compenser l'arrêt de mon Westworld adoré. Serie SF ingrate. Bande d'ingrats.

Top Gun Begins avec un Powell multiversel mais surtout avec un Jonathan Kang Majors tellement fort. Du bon moment bon.

Masochisme en 4DX. Star Tours de 3h, le coccyx en lambeaux. Et comme le dit Roger : "Je suis trop vieux pour ces conneries..." MAIS, restons francs quand même, gros film quand même! Du puissant bon. La suite en imax quand même.

Furiosa vs Voldemort at Five Guys. Très bon!

La suite d'un truc sale sorti en 2016 dont je gardais bon souvenir de la perf d'un Stephen Lang hardcore et inspiré d'un certain Gilbert Montagné. Redemption re-sale bon.

John Bwick fait des p'tits. Du moyen coréen qui se bagarre quand même un peu bien pour commencer l'année.

Dr Emily Blunt Queen Femme Médecin de retour dans un drama ultra tellement trop drama sur amazon omega optimus prime. Du bon oublions.

La gloire passée d'un Harrison Ford (et d'un Baldwin (et d'autres qui auront essayé)) remise au goût du jour avec le glorieux Krasinski over sympathoche. Une première saison sans surprise mais chouette quand même car respectueuse du mythe. S'en suit une deuxième foireuse qui se brelle les ieps dans la corbeille. Clic droit / perte de temps.

Into The Spider Verse a fait des p'tits. Scénar et rigolade très légers mais hérissements de sourcils tellement c'est si bonnement animé dans l'action (on touche la perfection). Du bon pour mon fiston.

Formidable réussite en tout point. Après la débacle de l'Obi-Wan et du Boba Fett, j'en attendais rien et me voilà conquis. Du redoutablement très bon!

La guerre sale et ses horreurs adaptée d'un livre que j'eu lu il y'a fort longtime. Glacial.

La saison (finale) de trop. Post-apo par moment épiquement bon mais loin de la claque des débuts. Du bon quand même.

L'avant d'hier soir. Ruben Östlund a du talent. Ainsi qu'une amazone. Du très bon.

Ruben Östlund remet ça. Et je me la raconte, parcequ'en vrai je n'ai rien vu de ce monsieur dont la filmo tape de la haute note sur IMDb. Subséquemment (je me la raconte encore), ici, une critique acerbe et jouissive de notre belle humanité. Du très bon.

P'tit bonus sur Disnépluss qui sera vite oubliussss. Pom only.

Un dernier cliff dystopique avant la fin si tout va bien.

L'Irlande rurale et la trogne d'un Cosmo Jarvis avec qui on n'a pas très envie de se friter. Du sobre bon.

Le réal du très fort Seules les Bêtes de retour aux manettes d'un thriller bipolar social qui tranche juste dans du trop réaliste. Très bon. (Et Modane.)

Le retour de Penny Cuoco dans la mignonnerie de la semaine. Mignon.

Dominique Toretto n'a qu'à doublement bien se tenir. L'halletance maitrisée de l'équipe du 1 qui remet le couvert dans un 2 encore mieux. Et Jérôme Niel. Du furieusement bon!

Hype-anda pour toujours. Soulignons le méga grand écart entre un Thor Quatre waititisé et un Black Panther Deux qui donne les poils. Alors attention, on est encore loin de la perfection attendue, avec une VF qui dénature le truc et les sauts magiques scenaristiques facilistiques, on a quand même, l'enfant et moi, kiffé notre grosse race. Du puissant et poignant super bon.

Retour fracassant de la team The Wire. Tiré de faits réellement réels avec les jolies lignes finales qui t'expliquent gentiment que les escrocs auront toujours les crocs. Du podcast bon.

Eleven brise elle aussi le quatrième mur. Passé la chouette surprise du premier, on s'est laissé couler.

On continue sur la lancée du monde merveilleux de la parodie d'antan. Hurlements de rigolade. Et un joli clin d'oeil prémonitoire au Biden d'aujourd'hui.

On commence doucement à convertir l'enfant au véritable patrimoine cinématographique et culturel. Ramada!

La cailleroulette très en colère mise en boîte par un très très fort Gavras. Passé le contexte détestable j'ai été hapé.

Du fort mieux que la deux et toujours trop cradeux.

La pétoche la vraie.

Mais comment ça sent bon les 90s! Un Joe Pesci au sommet, une tante May ultra fraiche et un Karate Kid sur la fin. Du tellement bien.

Saison deux qu'on l'aimeuh la Natasha Lyonneuh.

Intensité et crédibilité zéro, avance rapide un. Chose trop commune sur Netflix. Je n'ai pas Netflix.

Efficacité australienne sur Netflix. Du très bon, chose trop rare sur Netflix. Je n'ai pas Netflix.

Patate visuelle d'un George Miller persistant que j'attends patiemment d'un œil ferme pour un certain Furiosa. Joli.

Disney Plusss tape dans les tiroirs rétro de Marvel Comics. Simple, court et efficace avec du Man Thing inattendu et réussi qui fait kiffer le mec qui connait. Mignon.

Au secours! 2 dernières saisons scénaristiquement et doublagement catatoniques. Quand tu crois que c'est finish et qu'il faudra attendre une eventuelle finalité version ciné. Un six pour le mythe, le reste tend vers le navrant. Dommageant.

Il y a 41 ans. Bien avant Crockett, Tubbs, Heat et tout ce qui s'en suit, le monstre favoris Michael Mann eut réalisé cet autre chef d'oeuvre là que je ne connaissais pas. Immensurable.

Bon, parlons peu parlons pieu. Ally McHulk aura surpris, déçu et what-the-fucku. Sauf que, grand fan d'un certain comics sensationnel d'une époque révolue, je ne peux bouder ce plaisir fun et culpabilisant que ce fut. J'applaudis le casting réussi d'une certaine Tatiana Maslany et j'ose espérer une finalité ciné digne d'un End Game tant adoré. La balle est dans ton camp K.E.V.I.N.

Un premier épisode d'une intensité intense réalisé par le grand Mann himself. La suite se perd un peu dans du fumage de clopes non stop mais se laisse apprécier volontier. On a kiffé. Du bon! La suite vite.

Le grand final avec les honneurs de ce spin-off du Breaking grand si prenant et intelligent. Gloire à Gilligan Gould Odenkirk Seehorn Banks Mando Esposito and co!

Mad Max bio à l'ambiance post-apo captivée et maîtrisée. Du bon ciné qui laisse les méninges travailler sur l'ouverture folle de cette folle finalité. Fou.

Ce bijou d'animation puissant d'une puissance si puissante. Surpuissant Genndy Tartakovsky!

Une Sharon, un Crowe, un Carpaccio, un Hackman dirigés par un Raimi fou qui zoom et dezoom à outrance. Hype des 90's d'une époque où Canalsatellite était à la mode de chez nous. Kiff.

Le diable s'habille en Aubrey Plaza. Du bon!

Coup de cœur for eveur pour cette série sismique qui trouve encore le moyen de se réinventer en quatrième saison. Rdv dans un éventuel 2 ans pour la dernière si HBO le veut bien. Du toujours bon!

Vengeance hardcore façon The Crow. Du bon.

Le retour d'un Park Chan-wook qui lèche ses images. Moins bon que l'excellent que j'attendais mais envoûtant quand même.

Max Richter only. La suite un jour.

Brad Cabopitt dans le TGV. La hype éclatée par un doublage et des caméos éclatés. Merci Dada. Aller.

Un bon fastoche. Charlotte anglais courant dedans.

Ce pourquoi je mange du cinéma. Grand, puissant, excellent. Yep!

Pourquouuuah?

Méga prise de masse pour le petit Eggsy qui aimerait, selon les tabloïds, camper un certain Logan dans le MCU. Mention spéciale de fou pour le fou qui joue le serial fou. Du bon.

Halte au navrant navet. Autant The Villainess du même réal avait à l'époque gentiment convaincu, autant là on se rapproche d'un actionner bollywoodien qui donne juste envie de vomito. Pour la bagarre et encore... Pas bravo Netflixxx.

Qu'il est bon de retrouver du gros Predalien réalisé avec amour. Merci Mickey.

Extrémisme et foulie mormon. Du bon avec un Gil Birmingham très justement bon.

Sadisme du dimanche. Non.

La bagarre, Lalaland, Captain Moustache, des drones, Dhanush et la copine de Jay. Cordialement.

Interstellar au Kazakhstan. Plutôt bon.

Cosplay longue durée. Oublié

The Punisher meets The Fugitive. Efficace.

La magie Netflixxx des films qui tombent dans le domaine de l'oubli. Insipide.

Stranger Phonings.

Foirade scénaristique aux dialogues creux et sans âme. J'en ai gloussé. On en garde de belles images et de beaux dinos mais la magie ne prend plus. Dommage.

D'un yeu vitreux.

Soupe Waititi familiale. N'en déplaise à tous mes haters du oueb qui conchient le film, j'ai kiffé, bisous.

Une autre mignonnerie de chez DisneyPluxxx. Validé avant le truc cool qui arrivera en juillet 2023. (Chantons ensemble le générique des X-Men).

Dragons 12 ou mignonnerie de chez Netflixxx. Mignon bon.

Folie anglaise.

L'Empire contre-attaque (et la coupe au bol de Will). Puissance et kiffance.

Passé quelques facilités, quelques grosses barres de franches rigolades d'un autre temps. Merci Serge.

Anecdotisme planplan sauvé par de jolis et trop rares plans.

La magie du cinéma. Hair Cage se fou d'être au top du whatthefuckisme en mode buddy movie avec notre bon vieux Mando sans son casque. Mignon.

Bon. Parlons bien, parlons pieu. Bijou d'anticipation ultra puissant qui prend son temps et qui nous laisse sur les dents. Excellent.

Tomolland Jones fait des cascades numériques épisodiques. Oublique.

Navrance scénaristique et dialoguistique sauvée par de belles images d'avions de chiasse de 5ème génération et une bande son aux petits zoignons. Top Gun Pas Possible Deux NRJ Hits Music Only.

Aaah la bagarre... Un certain Alan Ritchson casse la baraque et enterre la version Tom Cruisée. Puissance.

Michael Bay se fait plaize avec des drones. Plaisir coupable d'une course poursuite qui pétarade pendant 2h non stop. Gyllen-desCaisses-haal!

Légey plus (pour la perf de l'Isaac). Oubli.

Excuse me mais qu'est-ce je viens de what-the-fucking watched?? Une balle, une pépite, un avion de chasse, non une Michelle Yeoh embarquée dans la course aux Oscars de la bagarre. Passion cinéma intarissable, merci au génie du duo Kwan Scheinert. Puissance multiverselle bon!

Fin de l'ascension sous mega pression de la famille mega Byrde. On espère revoir la mega merveilleuse Julia Garner au potentiel merveilleux. Du mega bon dans le bouchon.

Taika Waititi se paie Johnny Pedd des Caraïbes. Du mignon bon.

Surpuissance nordique. L'apothéose viking.

Cacastrophe souporiphique anecdotique.

Fantastic.

One shot néerlandais avec la magique et appréciée Carice Van Houten (à dire avec l'accent allemand svp). Podcast bon dans le bouchon.

Revu d'un yeu avisément plus vieux cette maîtrise du cut d'un Besson qui sentait bon le filon. Puissance approved!

Peu de justwatching ces jours-ci car Achille est passé par là. Du coup on ne garde que du très bon avec ce magistral flick mutant italien. Je prédis un grand avenir à Monsieur Mainetti.

Bagarre féminine anecdotique. Lupita only. Le reste on oublie.

Pas assez d'étoiles pour mon fils de dix qui a surkiffé au plus haut point ??. Jim Carrey en fait des caisses mais c'est son job. Un doublage VF à la ramasse blindé de clichés qui herissent les poils des épaules. Mignon (le 1er dans le puit de l'oubli).

Dorian Grey amnésique en Australique. Fargoien.

Groportnawak catastrophique whatdafuckit apothéosique du grand Emmerich bourré aux clichés qu'on lui connaît. Ahlalaliloulala.

Netflix docul arnaque du turfu de l'amour 15.0. Magique.

Ode à une jeunesse émoustillée du dimanche après midi. Les dessous wtf romancés de la cassette et de l'arrivée de la magie du web 56k. Lily James sosie puissance 40000. Du mignon bon!

Pas motivé pour le remake du Gastamflix, l'original donc de 2014 glisse mais n'enchante pas tant que ça finalement. Oublions.

Swedish movie post-apo-on-ice porté par une Noomi que j'apprécie. Du solide bon.

Sale temps pour la compta de Jason Bateman. Descente aux enfers sans fin qu'on sait qu'il y en a 4 de saisons, alors va pas nous faire croire que Marty va y passer dès le 1er épisode. Suite et fin le 18. Du bien!

La pétoche la vraie, celle qui, même cuit, te tient jusqu'au bout de la nuit. Poignance coréenne, prenez en de la graine.

Efficacité et bestialité appréciées très loin du "one of the best horror films of the year" comme écrit sur l'affiche. Du apprécié.

Jamais sans ma fille ambiance brute cartel sans concession sans musique juste bon.

Shawn Levy n'a plus le temps, les acteurs bankables habituels n'ont plus le temps non plus... MAIS petite emotion quand même. Du bon moment pas le temps bon.

Un autre genre de covid. Et Glenn. Et surtout Samara. Defouloirons.

Checklist movie, back to 1997. L'avant Interstellar dans un mood Forrest Gump du même Zemeckis. Jodie Foster au sommet. On a vu mieux depuis.

La descendance de la belle chevelure au casting maîtrisé. Efficace et sans fioritures. Du bon la suite vivemont!

Chantier chiadé et maîtrisé. Battinson fait le job mais aurait quand même besoin d'une petite cure de zinc. Du plutôt très bon, on dit merci Mr Reeves.

La classe franchouillaise. Vincent Macaigne crève l'écran en toute justesse. On pardonne l'injustesse des autres. Du bon.

Petite pépite what-the-fuck-it au plaisir culpabilisant. Mix mecha sentai dc comics fast and curious. Du bon pour mon fiston.

Punchlines sales sur punchlines encore plus sales. La recette Suicid Gunn adaptée en série est réussie. Du sale bon.

Master-depalma-class. Revu avec du yeux plus vieux. Nic Cage exemplaire et cabotine avant la chute qu'on lui connaît. Du bon toujours. Et ce thème de Ryuichi Sakamoto.

Fan service plan-plan les 3/4 du temps, sauvé par quelques plans justement et du deepfake plutôt chouette... Le fils de bientôt 10 a adoré.

El Cuco qu'on l'appelle là-bas. Du très bon sans concession.

Convaincu par un 10/10 chez HeyUGuys. Blockbuster japanimé déconcertant.

La secte Netflix. Du mignon bon dans le bouchon.

La puissance du karma. Gloire à Rooney Mara. Du bon fatiguons.

Tout l'art d'un plan séquence. Stephen Graham vise l'excellence.

Mini mini carcérale série by BBC. Dramatique bon.

Petit Noah Jupe convaincant face à son papa Shia côte de Beouf tout en justesse détestable. Du dechirant bon.

Premier four débile de l'année, motivé par une envie de Z-flick et lu quelque part que c'était quand même bien. Fuyez pauvres fous comme dirait l'autre.

Korean flick moins bon à l'action qui saigne dur. Oublions.

L'attaque du clone sans l'attaque. What if poignant bon.

Émotion maximale puissance plus plus. Happé.

Bagarre condensée surnaturelle animée pour grands et grands, quelque peu sale et résolument bon. Saison 2 pour 2022!

1992, j'en avais 12. Omnipotent.

Dimanche pluvieux. Alchimie cheloue de superstars sponsorisées par Netflique. Du vite fait bon oublions.

Après la déchéance du trois, nous passâmes un moment sympa. Du bon, le fantômatique en deçà.

Survival philippin proprement bien.

Strangerwendigothings in Oregon par le réal d'Hostiles. La pétoche maîtrisée. Et Oiseau Bondissant.

Bagarre du soir. Mary Elisabeth JohnWick bon.

Dans la towatchlist oubliée. D'un trait en deuxième partie de soirée. Du bon finlandais!

Pas fou, sauvé par trop peu de plans excellents because Vaughn est loin d'être manchot. Du dommage moyen bon mais bon.

Nous hurlâmes. Grand respect au McKay.

Marvel Disney Pluce continue son bout du bout. Sans surprise mais plaisant. Du bian.

Ça aurait pu(te) mais non. Surtout quand tu as vu les 2 autres la veille. Tellement loin de la méga gifle du un. Les moyens en moins, le cabotinage en plus. Du vraiment moyen bien.

Retour au trois avant le quatre avec mon enfant. Du tellement toujours aussi bon.

Retour au deux avant le quatre avec mon enfant. Du tellement toujours aussi bon.

D'un noeil dans la tuture. Le buzz pour pas grand chose au final. J'invite les adoreurs forceurs à jeter un noeil à son ancêtre et maître, j'ai nommé, Battle Royal.

Le trop attendu aux 1001 fuites uriweb. Fanservice puissance 1001. Une légère surcouche qui te rappelle que tu as pris 20 ans dans les dents. Du bon avec des plans surpuissants. Merci Bully Tobey.

La filmo Mads en mode rattrapage. Monde fou danois d'autrefois.

Le turfu déjà d'actualité.

300 puissance Takashi Miike. Du bon!

Quand prime video veut te faire avaler une pilule. Du bon qu'on attendait différammont.

Pour les grands yeux de la future Furiosa. Du bon.

Perfectionisme.

En quête d'anime à l'action bon dans cet univers sf plutôt bon. Plan plan moins bon.

Tombé dessus comme de par hasard. Martin McDonagh sous-gère un tas de bons mais Walken quand même.

Bedos tient le bambou, un peu de magie en moins. Mais quand même c'était bien.

Sympoitique série franchouillie. Avec un Ramzy qui chie de l'or. Et oui.

Pépite oubliée. Très bon.

Mads perdu dans le grand froid. Miraculons.

Jacques Le Gris et Jean De Carrouges (à dire avec un accent fort américain) sont dans un château... La folle Jodie Cormer au centre. Du maitrisé bon, mais bon.

Affligeance et carton box office font bon ménache. Uniquement pour une scène post générique qui fera sens le 15 décembre. Vomissons à l'unisson.

Mais pourquoi?? Réputation de folie pour une purge qui se perd au fil des épisodes dans du what the fucking fuck complaichiant ultra casse noisant. Mads et c'est tout, le reste vite oublions.

La bagarre sans surprise et sur/mal-joué portée par une Halle Berry qui se prend les pieds dans l'octogone. Du moins dommage bon.

Démonté par les critiques, exalté par l'enfant et moi-même. Du attendu bon.

La fin qu'il était temps. En vieillissant je me suprends à apprécier le Daniel Craig que j'execrais il y a quand même peu. Un Zimmer qui recycle et pète le score. Aux pommes.

Parceque No Time to Mourir sort là et que j'en oublie le saccage d'une de mes licences préférées de quand j'étais petit, je me laisse aller à espérer que les 2 derniers seront appréciés (après revisionnance sadique des 3 premiers). Des caisses et des caisses avec une Léa Seydouce peu crédible, le truc passe sans vraiment passer. Reste un sentiment mitigé. Du bon mitigé aller.

L'énorme claque in the West sortie en sous-marin sur Netflick. Maîtrise absolue très très bon.

Tom Hanks survivaliste. Du bon qu'on oublions.

Planplance quelque peu plate mais qui passe quand même quoique. La MCU phase 12 enclenche la petite première. Du bon allons.

Les bêtises de la mif de Jonathan Cohen. Du très bon très con.

A voir depuis forte lurette. La traque du terrotriste afghan au travers tout plein de tout bons acteurs. Du bon.

Pour faire plaisir au fiston. Du Sandler bon.

Le temps jadis où Stiller comédiait à la balle aux prisonniers. Toujours mignon bon.

Le jump scare de l'année. Plutôt chouette bon.

Maîtrise triomphale d'un Eboue à l'apogée de son ultra humour noir. Un triomphe.

On avance (et vite). La vengeance est un plat qui se mange très très froid. Toujours très poignant très bon.

Tuerie norvégienne. Excellont.

BAC Nord danoise. Apparemment au Danemark c'est la même joie de cité que chez nous. Du passons.

Encore un très bon by Carnahan qui auraient amplement mérité une sortie ciné. Alexis Louder que je ne connaissais pas crève totalement l'écran.

Pouuuaaah! Rares sont les séries que je suis au jour J aujourd'hui. Mais là gros gros coup de kiff. Du Baba Voss puissant bon!

Navet. Triste Donnie.

A voir depuis si longtemps. L'inspirant qui en aura inspiré tant.

5 acteurs, 2 maisons, un espace vert américain, le tout parfaitement mis en boîte. Du western comme j'aime très bon.

Le retour de l'écoutage d'un yeu de séries sur l'A6. Histoire d'assaisonner la chianteur du bouchon. Consternante époque.

Plaisir pas coupable. Puissance qualitative.

Quand le lambda acculé se fight. Ma Bud Dong-seok Spencer au top. Très bon.

Magique préquelle du géant Sopranos. Du très bon avec fiston dedans.

Gros buzz pour truc chiantplanplant. Du oublions.

Tessa Thompson cherche à jouer du vrai. Du très vite fait bon passons.

Jordan Peele persiste et signe encore et encore. Yahya Abdul-Mateen II aka Morpheus, Dr Manhattan, Manta, etc. persiste et signe lui aussi. Du chouette bon.

Ready Player One X Boss Level X Ralph la Casse X GTA. Epatant.

Chiance.

Soif de sf. Petit truc chouette qu'on oubliera avec Nora Arnezeder qu'on n'oubliera pas. Du bon allons.

L'introdunetion. Très très bon en attendons.

Big bang theory danois avec le grand Mads. Du bon!

Ecrit, réalisé, joué, cascadé par un certain John Pollono qui crève l'écran tant je me reconnais dans sa contenance. Capital sempiternel sympathie pour Jon Bernthal. Du bon.

Inaltérable buzz qui m'aura à chaque fois (un autre). Plan plan bon oublions.

Black Panther a fait un p'tit. Après le Black fiasco Widow, Shang-Chi fait mouche. Du vachement bon.

Hey! Quand c'est mon fiston qui me fait découvrir son super film à lui. Du très chouette bon.

La bagarre coréenne uniquement pour Ma Dong-seok qui fait si bien le job toujours. Le reste du moins bon oublions.

Inaltérable buzz qui m'aura à chaque fois. On salue l'effort moins bon.

Réussite Netflite. Jason Momoa prend du poids et Dora grandit. Du bon.

Classe intemporelle d'un Tim Burton au summum. Du d'un oeil bon.

Lisa Joy fait des merveilles avec Westworld depuis 3 saisons. On se dit donc que oui sa première réalisation sur grand écran ne pourra qu'être bien. Et bé non. Trop de trop mis de côté (ambiance de folie d'un monde sous montée des eaux) pour s'épancher sur une love story quelque peu désaventageuse. Du dommage moins bon.

Parcequ'on apprécie l'autre James Badge Dale de seconde zone. Du bon mais bon.

Patate surprise de forain avec Bud -Ma Dong-seok- Spencer qui fait si bien le job. Du bon.

En attendant Shang, chie (easy oui).

Réussite sous le manteau. Du bon.

Les investissements d'Amazonus Prime. Du carrément bon.

Pépite suédoise alcoolique. Du très bon.

Les débuts prometteurs de Rian Johnson et Joseph Gordon-Levitt. Du plutôt bon.

Collègues bibliothécaires qui tabassent sévère. Un air Wick de plein de trucs qu'on voit dans plein d'autres trucs. Mais mignon quand même.

Tragédie irlandaise. Du Cillian Murphy tragique bon.

Mother f#ckin' boastin' deux comme le un.

Un autre ultra attendu mis en stand by because covid magique. Du qui reprend là où tout s'arrête bon mais moins bon que là où ça s'est arrêté.

Je parle de recette just'en dessous. Vous avez là la recette Gunn qui fait mouche. Du très con très bon. Merci Gunn.

Pour alimenter le catalogue des exclus Disney Uce. La recette Pirates des Caraibes est de retour. Du qui se regarde oublions aussi.

Encore plus que plus que plus plus... jusqu'au malaise. Qui l'eut cru que ce petit film fort sympathique de 2001 en arriverait là. Hollywood est magique.

Du gros Pixar vu 4 ans plus tard... Du très très bon.

Mother f#ckin' boastin' un. Truc fun oubliable dans la minute parceque le deux arrive. Du oublions bon.

Quasi 2 ans d'attente pour une inéluctable sortie streaming. On nous annonçait un Red Sparrow façon Marvel avec la hype habituelle, on en attendait tellement que la chute en est plus violente. Au final Scarlet Widow et son cast font le strict minimum consommable (et Taskmaster déçoit sévère). On se pose la question de la suite des événements chez Disney, serait-ce là la nouvelle norme?

Le multiverssimisme quipartdanstouslesensiste des réalités alternatives et contemplatives boosté par du Loki et ses variants (travolta). Micro déception quant au Kang tant attendu (et qu'on attendra encore finalement). Je parle souvent de l'inspiration paternelle quant à mes goûts prononcés pour les gros blockbusfilms&séries, aujourd'hui je le vois tellement mal accrocher aux disney plus plus series. Du bon accrochons.

8h de vol dans les chicots, on s'occupe avec de la filmo (de trucs jamais vu). On termine avec ça. Vieillissement certain bon.

8h de vol dans les chicots, on s'occupe avec de la filmo (de trucs jamais vu). On continue avec ça. Un grand non-merci à Air France qui balance des films mal cadrés et au doublage unique, traumatisme total de la sardine. Du bon sinon.

8h de vol dans les chicots, on s'occupe avec de la filmo (de trucs jamais vu). On commence par ça. Souvenir de père qui m'en vantait les mérites. Du mignon passons.

Revisionnage ultime du précurseur de tellement de serial kill-films&séries. Du always très très bon.

Soirée whatifavirus... 2/2 avec Iron Fist qui ne fait pas long feu. Oublions moins bon.

Soirée whatifavirus... 1/2 avec Freida Pinto au plus juste. Du vite fait maitrisé plutôt bon.

Placement de voix de la toute petite Cynthia Erivo. Du moins hardcore que 12 Years a Slave bon.

Petits meurtres chez les gens normaux des united states au 21ème siècle. Rose en fait des caisses mais reste tout en justesse. Evan Maximoff étonne. Et tous les autres. Manque juste une dose de covid ici et là. Du justesse bon.

Kentaro Miura nous ayant quitté cette année, l'envie pressante de rattraper tête plongée ce Berserk que je ne connaissais que de renommée. Une trilogie ma foi redoutable, bijou d'animation équipé par le Studio 4°C (Spriggan messieurs dames) qui m'aura tenu en très bonne haleine pendant plus de 5h. Une troisième partie en deça digne d'un Urotsukidoji qui ne m'ambiance pas vraiment, mais au final c'est bien moin sale que la version papier. Du très bon.

Quête always du truc à regarder bien que la dossier towatch soit over blindé. Protagoniste qui était déjà dans un certain Crouching Tiger que j'idôlatre. Du simplement très bon.

Le temps jadis où Ben Stiller faisait du très bon Ben Stiller, où Jennifer Aniston faisait du très bonne Jennifer Aniston, où les larmes montaient au coin du noeil pendant la méga barre de rigolade. Du l'âge de ma fille très bon.

Emma Watson rentabilise l'abo DisneyPlusplus. Du vachement bon.

Un des der de der de la filmo McTiernan que je n'avais jamais vute. Pierce et René au sommet de leur forme. Du éromantico bon.

Enorme claque que j'attendais d'un oeil ferme. Guy Ritchie fait honneur à Statham qu'il a lancé bien des années plus tôt. Du énorme remake loin du make bon.

Eternelle sympathie pour Snyder haut et fort. Rythmique reloue éternelle, scénar Z éternel et jeux d'acteurs à la ramasse éternelle MAIS action burnée magistralement mise en boite par un Zack qui a pris son chèque. Envie de revoir son Dawn pour le coup. Du bon éternel allons.

Boycotté en 2004 pour un tas de bonnes raisons. Vu 17 ans plus tard motivé par les barbus d'Aurevoir Là Haut. Du très bon!

Melting pot animé ultra chiadé. Du inégal se hissant quand même vers le haut du panier.

Fin de la session Dupontel. Vu au cinoche à sa sortie et gardé un excellent souvenir de cette ambiance bien énervée. Du bon!

L'avant avant dernier excellent (et les débuts discrets d'une Laure Calamy).

Apothéose. Du vrai très grand cinéma français.

Après Adios los Connos, j'eu comme une envie d'enchainer la Dupontel filmos. Commençons par ce Vilain là, dans une même veine (quoi que moins hard) qu'un Bernie qui s'est laissé glisser. Du bon allons spectateur de l'évolution ultra positive du réal (et acteur) que j'admire tant.

Taylor Sheridan de retour après l'excellent Wind River (et la série Yellowstone que je n'ai point vu). Angelina -Moins- Jolie tellement pas crédible en garde-forestier qu'elle en massacre le film. Du Jon Bernthal bon, le reste dommage oublions.

La maîtrise d'un Dupontel qui maîtrise le sujet. Du très bon!

Dans les tiroirs depuis belle lurette. La franchouillise X-Men se perd et va aussi très vite. Du vite fait bon oublions là aussi.

Fan du jeu de la première heure (oooh gamegear) mais aussi du premier film d'époque avec notre Lambert national (aujourd'hui on en rit), puis suivi d'un oeil fan au fil des années les évolutions de ce jeu videal si ultra violent. Un film qui glisse, assez proche du navet annoncé. Du clin des yeux bon selon les moments (GET OVER HERE!!!). De la baston bon orchestrée, le reste oublions.

Splinter Killmonger Cell Creed vigilante qui va très vite. Une ou 2 scènes quelque peu puissantes, le reste plutôt plaplan. Du sans surprise moyen bon.

Les après-soupers home-ciné père-fille reprennent. Demande express de ma grande. Comédie musicale rondement maitrisée aux quelques chants à jeter. Du vraiment chouette bon.

What else en bout de course. Space overpéra plan plan.

Gravity deux. Pas vu l'Arctic du même réal. Du space sympa bon.

Buddy disney mcu série bien foutue qui s'accroche au cran du dessus et qu'on apprécie en famille. Balle inégale, les quelques choix et raccourcis mitigés (l'US Agent, la Sharon Carter, la Valentina Allegra de Fontaine allambiqués que seuls les afficionados connaitront) pour poser les bases de la longue suite qui s'en vient, avec le "Ooohhh" final de mon timal déçu à chaque final. Du bon!

Soirée père-fils. Le challenge fut de trouver un flick cool pour nous 2. Challenge accepted! Du bon.

Suite aux très bons retours un peu partout. Excellente mini série avec une Milioti au top de son top. Du bon!

Nouveau classique ditirambique. Toute la famille a aimé. Du très bon!

Allleeeeer. Better call défouloir Saul très bon!

Bon buzz totalement mérité par celui qui avait fait le bon Alice Creed. Du bon mérité.

Tiens un autre nouveau réal à suivre. Sobre et bon.

Scénar et acteurs d'une affligeance rare prétextes à du gros Kaiju Power Castagne Rangers. Pour mon fiston bon.

Laminé par les mêmes critiques qui auront encensé des purges bien pires (cf les bons retours de l'arnaque Sentinelle). Du au final fortuit original bon. Comprenne qui comprendra.

A l'occasion de l'arrivée du Qled 65 poupouces. Du grand Mel. Et mon projo me manque déjà.

Me suis-je endormi anecdotique pas très bon.

Vu d'un oeil avec Madame la toute dernière saison de Vikings. Voulu revoir du coup le moins grand film du très grand McTiernan qui annonçait déjà sa déchéance. Bref, du vikings avant Vikings. Du toujours bon.

Dur pour un cinévore hollywoodien de se poser devant ça. Mais suite à l'insistance du top des collègues je me suis laissé tenter. Du coup cet été on ira arpenter les Cévennes. Du très mignon bon!

Trouvé cet inconnu de 2013 dans un top10 SF. Film fauché preuve encore qu'avec très peu de moyen et un scenar tangent universe en beton on peut faire quelquechose de brillant. Du brillant bon (si t'es pas fatigué).

Just'après Freaks, une autre pépite moins superzeroïque vraiment moins étonnante bon.

Another pépite superzeroïque étonnante bon.

Le pouvoir du hashtag des fans (genre) et du grand Zack (genre genre) qui auront eu raison des pontes de chez Warner (genre genre genre). Un nouveau genre (encore) de marketing social réseau titanic ciné 2021 est en marche. Au final on en aura pris plein nos ptites mirettes. Au final c'est totalement assumé et réapproprié par notre cher réal. Au final 4h c'est costaud mais cool en mode home projo. Au final le format 4/3 j'adhère pas du tout sa grand mère. Et ne parlons pas de Batfleck, du Joker ou de Barry Allen. Le reste reste du grand space super heros opéra. Du très cool bon son grand père. #releasezackpourquilpasseenfinàautrechosecut

Balagueró se la joue Ocean's 11. Un autre vraiment moins bon.

Tom fromage de Holland dramatique et moustachu. Du oublions bon.

La jeunesse british en mode survival in the country. Du mignon bon.

Coup de maitre avec le sympa Braquage. Le déchantage de la suite continue encore et encore. Du pas bon malgré Olga.

Après la recette Mando qui a fait ses preuves. Disney plusplus s'attaque et pose les bases du MCU à la TV et nous fait patienter chez nous jusqu'à un eventuel retour ciné un jour. Du cool bon rdv du vendredi en famille.

...à 8h57 du matin sur le quai du RER B (titre complet). Du Audiard bon.

Black Infiltred Panther. Fort.

Preuve qu'une BO aux petits oignons peut faire d'un métrage long du bon.

La Grande Évasion des poulettes pour faire plaisir à mon fiston. Du bon!

Préquelle intelligente et prenante. Glacement de sang avant over bon.

L'horreur à la Carpenter. Glacement de sang over bon.

Joe Carnahan le retour. Du très chouette bon même si Mel sous-exploité.

Grande classe pour Darius Marder (le réal) et Riz Ahmed (l'acteur). Du grande classe poignant bon.